Andropause : Âge, symptômes .. un mal qui touche les hommes

Andropause : baisse de testosérone, âge, signes chez l’homme

Si vous observez certains des signes ou symptômes qui ont été énumérés ci-dessus, consultez un médecin qui vous fera réaliser quelques tests pour tirer cela au clair. L’andropause chez l’homme est l’équivalent, au masculin, de la ménopause. On voit bien, en fait, que ménopause et andropause sont assez proches. Cependant, l’andropause est bien moins médiatisé que la ménopause dont on parle davantage dans les médias et partout ailleurs. J’ai des problèmes d’érection et j’ai 47 ans et je n’ai toujours pas d’enfant.

L’andropause est une phase normale du vieillissement masculin, mais elle peut avoir un impact significatif sur la qualité de vie. Comprendre ses symptômes et ses causes est essentiel suppléments pour réduire la testostérone chez les hommes (bodegascrial.es) gérer cette transition de manière efficace. Tout dépend de son statut hormonal et bien entendu des conditions psychiques, mais à partir de la quarantaine, beaucoup d’hommes notent un amoindrissement du désir et de l’activité sexuelle. Ceci est dû bien souvent à un surcroît de stress, aux obligations multiples, à la fatigue, un surpoids ou des problématiques métaboliques. Avec l’âge, on observe une diminution des fonctions testiculaires et une altération du fonctionnement de l’hypophyse, qui conduit naturellement à une baisse du taux de testostérone.

L’andropause, parfois appelée le « syndrome de déficit en testostérone », est une phase naturelle du vieillissement masculin marquée par une diminution progressive des niveaux de testostérone. Contrairement à la ménopause chez les femmes, ce processus est souvent lent et graduel, ce qui le rend plus difficile à identifier. Bien que l’andropause touche un grand nombre d’hommes, elle reste largement méconnue et sous-diagnostiquée. Les symptômes peuvent inclure une baisse d’énergie, une diminution de la libido, des troubles de l’humeur, une prise de poids, une perte de masse musculaire, ainsi qu’une réduction des performances cognitives. Parce que ces symptômes évoluent progressivement, beaucoup d’hommes les attribuent à l’âge ou au stress, sans reconnaître qu’ils peuvent être liés à un déséquilibre hormonal. L’andropause, bien que naturelle, peut avoir des répercussions importantes sur la qualité de vie et mérite d’être mieux comprise et prise en charge.

Sur le plan physique, pratiquer une activité physique et/ou faire du sport permet de stimuler la masse musculaire et le fonctionnement cardio-vasculaire du corps humain. Il ne s’agit pas ici d’un traitement sur 2 ou 2 semaines, mais d’un traitement à vie.Vous comprenez donc que la décision ne doit pas être prise à la légère. Si la diminution des désirs sexuels ou envies sexuelles est passagère ou temporaire, on peut parler davantage de troubles sexuels, comme le symptôme de la panne sexuelle par exemple.Très fréquent chez l’homme, tout comme l’éjaculation précoce. Ces troubles sexuels sont souvent d’ordre psychologiques et se traduisent par une réponse physiologique symptomatique. Des niveaux bas de vitamine B12 dans le sang sont liés à une augmentation du risque de fractures chez les hommes âgés.

«Notre plus grande préoccupation, ce sont les jeunes hommes qui prennent de la testostérone pour s’entraîner, avoir de la barbe et de gros muscles! Je leur dis de faire confiance à leur corps, mais la pression sociale est énorme. L’usage de stéroïdes anabolisants peut avoir des effets irréversibles sur leur fertilité», mentionne-t-elle. Moins connue que la ménopause chez la femme, l’andropause chez l’homme est aussi causée par une diminution des taux hormonaux.

Pour rappel, cette hormone est à l’origine de toutes les spécificités masculines, comme la voix grave, la pilosité ou encore la masse musculaire. Selon les études récentes, les traitements actuels – injections sous-cutanées hebdomadaires, gel ou crème de testostérone – montrent des effets bénéfiques modestes tout en comportant des risques non négligeables. «Ces traitements ne doivent pas être prescrits systématiquement», rappelle l’endocrinologue, qui s’inquiète de la banalisation de l’usage de testostérone, tout particulièrement chez les jeunes.

Elle s’accompagne parfois de symptômes pouvant bouleverser le quotidien de certains hommes. Perte d’énergie, troubles érectiles, dépression… il est tout à fait possible de prévenir et d’améliorer ces symptômes. Toutefois, l’existence même de ce trouble est controversée car il n’y a pas de ‘pause’ à proprement parler (comme celle observée dans la ménopause correspondant à la disparition des œstrogènes chez la femme aux alentours de 50 ans). Il est plus juste de parler de ‘déficit androgénique lié à l’âge’ ou DALA. Pour d’autres encore, il n’est question que d’une diminution de la sensibilité hormonale liée au vieillissement.

Cette évolution fait partie des signes les plus caractéristiques de la ménopause masculine, même si elle reste parfois cachée par gêne ou peur de paraître faible. Reconnaître l’origine hormonale du problème aide à aborder le sujet sans honte. Les tâches quotidiennes paraissent plus pénibles, même les activités appréciées auparavant. La motivation s’effrite, avec la sensation que chaque effort demande plus d’énergie qu’avant. Les idées deviennent confuses, les pensées s’éparpillent, rendant difficile la prise de décision ou la gestion de projets. Il devient plus dur de rester attentif en réunion, de finir un dossier ou de suivre une conversation complexe.